Maurice Béjart
En première partie, la compagnie présente Tous les hommes presque toujours s’imaginent. Titre emprunté à l’écrivain suisse Ludwig Hohl, ce ballet est entièrement chorégraphié sur les musiques de John Zorn, l’un des compositeurs majeurs de la musique contemporaine américaine. La densité et la pluralité de son œuvre hors-normes entamée au mitan des années 70, son audace et sa liberté artistique ne cessent d’interpeller et fasciner le directeur artistique du Béjart Ballet Lausanne. Se confrontant à l’ensemble considérable de ses compositions plurielles, Gil Roman s’immerge dans l’univers exploré par le génial multi-instrumentiste de 1990 à 2017… C’est ainsi que pas à pas, d’un mouvement, d’un geste, Gil Roman a entraîné ses danseurs au-delà des murs…
Deuxième pièce chorégraphique au programme de la soirée : L’Oiseau de Feu de Maurice Béjart, réglée sur la musique de Stravinski. « L’Oiseau de Feu est le Phénix qui renaît de ses cendres. L’Oiseau de vie et de joie, immortel, dont la splendeur et la force restent indestructibles, internissables. » – Maurice Béjart
Le spectacle termine avec Boléro, ballet créé en 1961 par Maurice Béjart, sur la musique de Maurice Ravel. Le rôle central – La Mélodie – est confié tantôt à une danseuse, tantôt à un danseur. Le Rythme est interprété par un groupe de danseurs.
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