En première partie de soirée, Alors on danse… ! se déploie comme un enchaînement de compositions exigeantes, chassés croisés amoureux d’une sensualité affirmée, offre aux danseuses et danseurs la matière pour exprimer le meilleur d’eux-mêmes. Ce plaisir de tous les sens, Gil Roman le dédie à Patrick Dupond, un artiste iconique qui l’incarnait à chacune de ses apparitions sur scène.
Pour la seconde partie, la compagnie présente deux ballets issus du répertoire de Maurice Béjart, parmi ses œuvres les plus emblématiques. Tout d’abord, 7 danses grecques, rythmé par la musique envoûtante de Mikis Theodorakis. Béjart lui-même décrivait cette pièce comme un hommage à la Grèce, où les emprunts au folklore sont à la fois discrets et évocateurs. La soirée se conclut donc avec Boléro, ballet créé en 1961 sur la partition envoûtante de Maurice Ravel. Le rôle central – la Mélodie – est tour à tour confié à une danseuse ou à un danseur, tandis que le Rythme est porté par un groupe de danseurs.
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