En ouverture de soirée, Serait-ce la mort ?, dans les mots de Maurice Béjart : « ce sont les quatre derniers “Lieder“ de Richard Strauss composés en Suisse et en partie à Lausanne. Le titre du ballet n’est que le dernier vers du dernier Lieder : “Is dies etwa der Tod ?“. Un homme sur le point de mourir se souvient de trois femmes qu’il a aimé durant sa vie. Mais une quatrième s’interpose toujours entre lui et les figures aimées. Il ne l’a jamais connue, qui est-elle ? « Serait-ce la mort ?“ »
En deuxième partie de soirée, L’Oiseau de Feu de Maurice Béjart, réglé sur la musique de Stravinski, sera présenté. Dans les mots du chorégraphe : « L’Oiseau de Feu est le Phénix qui renaît de ses cendres. L’Oiseau de vie et de joie, immortel, dont la splendeur et la force restent indestructibles, internissables. »
Pour clore la soirée, la compagnie vous invite à un voyage étourdissant avec Béjart et nous. Un voyage à travers le répertoire dansé (et musical) de Maurice Béjart mêlant pas de deux, solis et ensembles recomposés. Une proposition artistique sensible de Julien Favreau, une immersion au cœur de l’œuvre éclectique et foisonnante du Maître interprétée par les danseuses et danseurs de sa compagnie d’aujourd’hui.
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