BBL à Forest National (18-21 mai 2018) « a envoûté le public belge », écrit La Libre Belgique. Revue de presse.
« Vendredi soir, nombreux étaient sans doute les spectateurs à être venus à Forest National pour voir ou revoir la chorégraphie mythique du Boléro imaginée par Maurice Béjart et dansée, 57 ans après sa création à La Monnaie, par le Béjart Ballet Lausanne (BBL), écrit La Libre Belgique.
» Mais avant, en première partie, le public a pu découvrir une création originale de Gil Roman, directeur artistique du BBL depuis la mort de Béjart en 2007: t’ M et variations… (…) Si une part importante du travail du BBL consiste à faire vivre la mémoire et l’oeuvre de Maurice Béjart, Gil Roman s’attache également à poursuivre le travail de création de la compagnie. Entré à 19 ans, en 1979, au Ballet du XXe siècle, fondé par Béjart à Bruxelles, Gil Roman n’a jamais quitté « Maurice ». Son travail de chorégraphe est donc nourri par cet héritage inestimable, mais il n’en demeure pas moins innovant et audacieux.
» Dans t’ M et variations…, on retrouve cette patte béjartienne mêlant des mouvements extrêmement techniques – soulignons à ce titre le très haut niveau des danseurs du BBL – à des pas simples, presque du quotidien. Toute l’intensité de la chorégraphie est impulsée par le jeu incroyable des percussions, faisant balancer les tableaux entre rythme saccadé et haletant, et mélodies d’une infinie douceur (…)
» En seconde partie, le rideau se lève sur l’impressionnant orchestre philarmonique belge La Passione, dirigé par Paul Dinneweth. Après quelques morceaux dansés dont on laissera la surprise à celles et ceux qui assisteront aux représentations de ces samedi et dimanche, le public retient son souffle: la table du Boléro est installée (…). »
Article complet de La Libre Belgique ici.
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