Gil Roman donne carte blanche au chorégraphe italien Giorgio Madia, ancien danseur du BBL, qui crée Swan Song en exclusivité pour la compagnie.
Inspiré d’extraits d’interviews de Maurice Béjart, Madia analyse l’influence du maître sur son travail et s’interroge sur la signification originelle de la danse, sa vibration, son énergie vitale et sa connexion à la musique. Giorgio Madia trace un parallèle entre sa propre expérience et celle de Gil Roman, pour qui il crée sur mesure ce ballet, car il représente « le lien entre le passé, le présent et le futur de l’héritage de Maurice Béjart. »
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