Maurice Béjart a créé de nombreux ballets sur la musique de Gustav Mahler : Le chant du compagnon errant, Ce que l’Amour me dit, Ce que la Mort me dit, Adagietto, A force de partir je suis resté chez moi…
Dans Liebe und Tod, le chorégraphe prend un lied déjà mis en danse, Wo die schönen Trompetten blasen, en l’assortissant d’une nouvelle création pour Gil Roman : La Mort du tambour. Cette dernière est chorégraphiée sur Der Tamboursg’sell, un autre lied de Mahler tiré du recueil intitulé Des Knaben Wunderhorn.
Album : Des Knaben Wunderhorn Great Recordings of the Century ; Directeur : George Szell ; Interprètes : London Symphony Orchestra, Elisabeth Schwarzkopf, Dietrich Fischer-Dieskau ; Distribution : EMI Classics
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