En 1970, pour le lancement de la saison de la Brooklyn Academy à New York, Maurice Béjart fait sensation en présentant La porte : un solo sur pointe chorégraphié pour Maïna Gielgud sur la musique de quatre des Variations pour une porte et un soupir de Pierre Henry. Ici, Gil Roman questionne l’identité en confiant, pour la première fois, le rôle à un danseur.
Album : Messe pour le temps présent ; Distribution : Philips
Album : Noire à Soixante / Variations pour une porte et un soupir (Version ballet) / Gymkhana ; Distribution : Mantra
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